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Le régime fiscal privilégié : une aubaine ou un obstacle ?

Le Conseil d’Etat reste intransigeant sur l’application de l’article 123 bis du CGI.


Ainsi, tout résident français détenant normalement plus de 10 % des actions ou parts, hors de France et soumis à un régime fiscal privilégié est imposé.

 

Cependant, encore faut-il détenir l’entièreté de cet actif. Tel est le contentieux qui s’éveille au travers de l’arrêt du 12 mai 2022.


Le requérant contestait la propriété des 10 % des parts d’une société panaméenne et rejetait toute imposition.

 

La Haute Cour en a eu une lecture bien différente, en ce qu'elle a jugé que, compte tenu des circonstances, le requérant détenait seul le contrôle de la société.


Par conséquent, celui-ci était assujetti à l’article 123 bis du CGI, et était soumis à imposition.

 

 

http://www.etudes-fiscales-internationales.com/archive/2022/05/17/art-123-bis-cgi-le-seul-controle-de-l-entite-etrangere-perme-26786.html

 


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